J’ai vu des cas où tout ce qui se trouvait à l’intérieur du réservoir (et même le réservoir d’un gars avec un Softail 100e anniversaire avec la peinture d’usine sophistiquée) était irréparable après une période d’attente prolongée.

Moi aussi, je roule toute l’année, mais pas comme quand j’étais un jeune fanatique. Le vélo reste rarement assis plus de 2-3 jours. De nos jours, je vais parcourir 16 kilomètres et payer le prix supplémentaire pour le non-éthanol. Parce que je deviens un vieil homme têtu et grincheux et que je peux me permettre de me livrer à mes bizarreries.

J’ai plus peur pour ma voiture que pour le vélo. Ce n’est rien de faire rouler un réservoir entier sur le vélo en une semaine ou même en quelques jours. 140-150 milles, atteint la réserve, va faire le plein. Cela ne mène nulle part. Je tourne juste en rond. L’éthanol n’a pas assez de temps pour faire des dégâts.

Pour la voiture, je ne conduis pas assez pour traverser un réservoir aussi vite. Je ne peux pas conduire la voiture et faire du vélo en même temps.

Je déteste devoir me séparer de 60 à 80 $ d’un coup pour faire le plein de la voiture (Merci Bite-Me). Donc, je complète quand il arrive aux ¾ du réservoir. Une partie du gaz est probablement restée dans le réservoir depuis des mois, voire des années. J’essaie de le garder plein pour réduire la condensation, mais je sais que l’éthanol aspirerait chaque goutte d’eau.